Très peu d’engins motorisés, uniquement  une débroussailleuse auto-portée pour le giro- broyage dans les allées. Entre les arbres le rotofil à dos reste de rigueur.  
Les traitements permis en mode biologique sont ciblés. Là encore, pas de passage de machine qui pulvérise tout y compris le sol. L’irrigation, indispensable pour la culture du grenadier, se fait par le système goutte à goutte qui est le plus économe en eau.

2010 : Obtention du label AB suite aux démarches entreprises à la plantation en 2007. Depuis 2015, le sol s’est transformé ; il est proche d’un sol forestier, très riche en matière organique, très vivant.

Des éthnobotanistes trouvent leur bonheur en cueillant diverses plantes et fleurs pour des laboratoires.